Partenamut: la cloche a sonné pour l’inscription aux stages !

Les stages seront encore plus prisés en 2022, pourtant 45% des familles belges ne sont pas au courant des avantages proposés par leur mutuelle

En ce début d’année le casse-tête de l’organisation des vacances peut commencer.  Si les parents belges ont en moyenne 34 jours de congé par an, les écoliers, eux, tournent autour des 74 jours officiels annuels. Sans compter que cette année, pour compliquer la donne, il y a la réforme des rythmes scolaires. Partenamut a dès lors tenté d’en savoir plus sur les usages et les habitudes des Belges en matière de stages via une nouvelle enquête[1]. Quelle consommation faisons-nous des stages ? Quel budget allouons-nous pour ce poste ? Où démarrer ses recherches ? A quel type de stages participent les enfants ? Quelles sont les difficultés rencontrées ? Autant de questions qui suscitent des réponses multiples, mais dont on peut dégager certaines tendances.

Plus de stages en 2022 suite à la réforme des congés scolaires
D’abord un constat : les stages sont ancrés dans les habitudes des Belges. En effet, 64% des parents ont déjà inscrit leurs enfants à des stages, et si 36% répondent par la négative, c’est que leurs enfants sont trop jeunes ou que c’est selon eux trop cher. 51% des répondants ont d’ores-et-déjà confirmé leur intérêt pour inscrire leurs enfants en stage en 2022.

La majorité des enfants font 1 à 2 stages par an. Ce sont surtout les enfants de moins de 9 ans (43%) qui font le plus de stages par an, suivis des 10-15 ans (22%).

Le moment le plus prisé pour les stages sont les vacances d’été mais un tiers des répondants indiquent envoyer leurs enfants en stage tout au long de l’année. Seulement 11% ne ferait que des stages durant l’année scolaire, sans en faire l’été. Suite à la réforme des vacances plus d’un tiers des parents prévoient d’inscrire leurs enfants plus souvent à des stages que les années précédentes.

Ce n’est un secret pour personne qu’envoyer son enfant en stage peut représenter un fameux budget. Pour 51% le budget s’élève à maximum 200 € et pour 31% cela monte même jusqu’à 400 € par an et par enfant. Ceux qui sont les plus enclins à consacrer plus d’argent pour les stages sont les parents d’enfants uniques. 

Au rang des motivations, le sport (59%), les découvertes dans la nature (34%) et les plaines de jeux (30%) sont dans le haut du classement. La perspective d’offrir une vie fun et plaisante à leur(s) enfant(s), en favorisant leur(s) stimulation(s) par le jeu et les activités en plein air, constitue une autre motivation de taille pour les parents ayant répondu à l’enquête.

Intérêt général mais craintes partielles
Les répondants craignent ne pas trouver un stage de qualité ou des propositions variées. Ceci est spécialement d’application pour les jeunes parents entre 20 et 34 ans. Pour trouver l’activité qui occupera leurs bambins en période de vacances les mutuelles semblent être un fidèle partenaire. Les adultes se tournent également, par ordre d’importance, vers le bouche-à-oreille (35%), l’école (33%), les informations données par la commune (31%) et les clubs de sport (30%).

Les principales barrières évoquées par les parents au moment de l’inscription sont d’ordre organisationnel : « Les stages sont vite complets, surtout les bons ! » ; « Manque de diversité des activités, les enfants refont les mêmes stages chaque année » ; « Difficile de se coordonner avec un autre parent pour avoir au moins un copain sur place » ; « Pas facile de s’organiser au boulot pour déposer/aller rechercher les enfants au stage » ; etc.[2] Lors du choix de stage, un critère important dont les parents tiennent particulièrement compte est la possibilité de garderie avant et/ou après les heures de stages.

Au moment de déposer les enfants au stage, les parents craignent surtout le manque de professionnalisme, le manque de suivi des enfants (en cas de fortes chaleurs, pluie et suivi de la propreté pour les plus petits) et le manque d’organisation générale.

La moitié des Belges pas au courant des remboursements
Sur le plan financier, 55% ignorent les montants exacts de participation aux frais, non négligeables, de leur mutuelle. Partenamut, par exemple, rembourse une bonne partie des frais pour les camps scouts, les voyages scolaires, les plaines de jeux et les stages linguistiques ou sportifs dans les pays de l’Union européenne. “Afin d’anticiper le calendrier des congés scolaires qui sera modifié à partir de l’été 2022 et pour permettre aux enfants comme aux parents de souffler un peu, la mutuelle augmente cette année le remboursement pour les stages”, explique Alex Parisel, Directeur de Partenamut. L’intervention des Avantages Partenamut passe ainsi de 10 € à 12,50 € par jour par enfant jusqu’à 18 ans inclus, pour un total de maximum 125 € (au lieu de 100 €) par an. Ce montant monte jusqu’à 250 €/an pour les vacances destinées aux enfants en situation de handicap bénéficiant d’allocations familiales majorées, avec un maximum de 12,5 €/jour. Partenamut compte également une quinzaine de partenaires chez qui les membres peuvent bénéficier de réductions.

[1] Étude réalisée par IVOX pour Partenamut entre le 3 décembre 2021 et le 14 décembre 2021 auprès de 1000 répondants.

[2] Étude qualitative réalisée par Partenamut entre le 4 mars et le 5 avril 2021, parmi plus de 130 répondants ayant en moyenne (45%) 2 enfants.  

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