1 Belge sur 3 possède au moins une application de santé sur son smartphone ou sa tablette
Face à la forte augmentation de l’utilisation d’applications liées à la santé par les Belges, notamment suite à la crise sanitaire, Partenamut adapte son offre de remboursement.

Beaucoup de Belges sont plus attentifs à leur santé depuis le début de la crise sanitaire. Le stress, l’anxiété́, les troubles dépressifs, etc. n’ont fait que s’accentuer. Dans certains cas, les nouvelles technologies offrent d’excellentes solutions pour méditer, améliorer le sommeil, diminuer le stress ou encore pratiquer la pleine conscience. L’enquête e-santé1 de Partenamut révèle d’ailleurs aujourd’hui qu’1 Belge sur 5 s’est procuré au moins une application de ce genre pendant le confinement. En ligne avec sa mission de précurseur en matière de prévention, Partenamut remboursait déjà partiellement certaines apps mobiles de santé et a décidé d’élargir son offre d’avantages en ce début d’année 2022 aux apps de méditation pour mieux correspondre à la réalité des besoins des Belges.
La moitié des utilisateurs belges se connectent au moins une fois par jour à leur app santé
La fréquence d’utilisation d’applications mobiles par les Belges a fortement augmenté depuis 2018, passant de 61% à 74 %, selon les chiffres de Partenamut. Sans surprise, l’intérêt est surtout prononcé chez les jeunes (93% d’utilisation assez/très fréquente vs 54% chez les seniors), mais l’évolution de la fréquence d’utilisation est par contre plus marquée chez les plus âgés (passant de 37% à 54%). Cet intérêt pour les nouvelles technologies semble perdurer, même après la pandémie : 83% des utilisateurs ont déclaré qu’ils continueront probablement ou certainement à faire usage de leur(s) application(s).
Parmi les applications les plus populaires, celles liées à la santé sont bien positionnées : 1 personne sur 3 indique posséder au moins une application mobile de santé sur son smartphone ou sa tablette, 15% indiquent même en posséder plusieurs. La moitié de ces utilisateurs (46%) mentionnent en faire usage au moins une fois par jour et 81% d’entre eux au moins une fois par semaine.
Une pléthore d’applications, mais une sélection minutieuse remboursée
Les applications de santé se sont en effet fortement multipliées depuis 2015, avec un choix de plus de 2500 apps de méditation déjà disponibles en 20202. Si la notoriété de certaines n’est plus à faire, pour bénéficier d’un remboursement, elles doivent cependant être prescrites par un médecin ou figurer dans la liste des applications agréées par mHealth Belgium.
« Pour les apps de méditation, nous avons analysé l’offre sur le marché et avons choisi d’intervenir dans l’abonnement des apps qui remplissaient les critères de qualité et de disponibilité en Belgique francophone. » explique Vincent Fouilloux, Product Manager à Partenamut.
Pourquoi élargir aux apps de méditation ?
« La méditation a fait ses preuves en termes de prévention. Au Canada, de nombreux établissements ont fait entrer la « pleine conscience » à l'école. Cette technique permettrait d'améliorer le bien-être et les performances scolaires des élèves. D’autres études3 ont montré l’effet significatif de la méditation sur les symptômes de dépression et d’anxiété. » explique Alex Parisel, Directeur Général de Partenamut. « Et face aux besoins actuels, nous souhaitons jouer notre rôle de promoteur de solutions innovantes et validées pour aider nos membres à cultiver leur santé. Raison pour laquelle nous avons décidé d’élargir de manière ciblée notre offre de remboursement aux applications de méditation ».
« Partenamut a donc choisi, en ce début d’année 2022, de prendre en charge jusqu’à 20 €/an sur l’abonnement annuel de 4 applications reconnues dans le domaine de la méditation, à savoir Petit Bambou, Calm, Headspace et Insight Timer. » ajoute Vincent Fouilloux.
1 Chiffres issus de l’enquête e-santé de Partenamut réalisée par Dedicated sur un échantillon de population de 1002 personnes de plus de 18 ans, interviewées en février 2021.
2 Unhooking the Drama: Meditation Apps Statistics to Know in 2020.
3 Hofmann et al., 2010